"Le plus grand danger qui menace présentement la cohésion nationale est le recensement en cours, a déclaré le président de l'assemblée nationale, Messaoud Ould Boulkheïr à l'ouverture, aujourd'hui, de la session extraordinaire de l'assemblée.
De ce fait, Ould Boulkheïr a demandé "avec insistance au gouvernement de revoir ce programme qui a suscité d'innombrables interrogations et protestations dans certaines de nos villes. Telles les événements survenus tout dernièrement à Kaédi (…) Nous considérons que de tels problèmes résultent du manque de l'opacité de ce recensement, de sa lenteur, du manque d'expérience des personnes chargées de son exécution".
Auparavant, le président de l'Assemblée avait affirmé que "la présente session s'ouvre dans un climat où s'entremêlent nos sentiments: nos peines, nos craintes et nos espoirs".
Concernant les peines, il a déploré la disparition de Sall Abdoul Aziz "l'un des illustres pionniers de la politique dans notre pays" et celle de Sidi Mahmoud Ould Oumar, "un frère, un collègue et un honnête gestionnaire".
Pour les craintes, il s'agit "d'un déficit pluviométrique aigu particulièrement dans nos régions rurales. Si une telle tendance perdure, nous serons confronté à une catastrophe écologique qui n'est pas sans rappeler les affres des la sècheresse des années 70…je lance au gouvernent un appel qui s'apparente plutôt à un cri de détresse, et ce afin qu'il prenne, dès à présent toutes les dispositions nécessaires pour faire face à toutes éventualité", a-t-il affirmé.
Quant aux espoirs, le président de l'assemblée nationale a souhaité que le dialogue national débouche "sur les réformes politiques, sécuritaires sociales économiques et culturelles permettant de garantir la stabilité et la prospérité dans un climat de démocratie réelle et apaisée". Qu'il garantisse "la préservation d'une Mauritanie Unie, islamique, arabe, africaine et démocratique."
source : Alakhbar
De ce fait, Ould Boulkheïr a demandé "avec insistance au gouvernement de revoir ce programme qui a suscité d'innombrables interrogations et protestations dans certaines de nos villes. Telles les événements survenus tout dernièrement à Kaédi (…) Nous considérons que de tels problèmes résultent du manque de l'opacité de ce recensement, de sa lenteur, du manque d'expérience des personnes chargées de son exécution".
Auparavant, le président de l'Assemblée avait affirmé que "la présente session s'ouvre dans un climat où s'entremêlent nos sentiments: nos peines, nos craintes et nos espoirs".
Concernant les peines, il a déploré la disparition de Sall Abdoul Aziz "l'un des illustres pionniers de la politique dans notre pays" et celle de Sidi Mahmoud Ould Oumar, "un frère, un collègue et un honnête gestionnaire".
Pour les craintes, il s'agit "d'un déficit pluviométrique aigu particulièrement dans nos régions rurales. Si une telle tendance perdure, nous serons confronté à une catastrophe écologique qui n'est pas sans rappeler les affres des la sècheresse des années 70…je lance au gouvernent un appel qui s'apparente plutôt à un cri de détresse, et ce afin qu'il prenne, dès à présent toutes les dispositions nécessaires pour faire face à toutes éventualité", a-t-il affirmé.
Quant aux espoirs, le président de l'assemblée nationale a souhaité que le dialogue national débouche "sur les réformes politiques, sécuritaires sociales économiques et culturelles permettant de garantir la stabilité et la prospérité dans un climat de démocratie réelle et apaisée". Qu'il garantisse "la préservation d'une Mauritanie Unie, islamique, arabe, africaine et démocratique."
source : Alakhbar