Huit chefs d’Etat africains, Hosni Mubarak de l’Egypte, Omar EL Bashir du Soudan, Idriss Deby du Tchad, Essaias Afewerki de l’Erythrée, Sidi Mohamed Ould Cheik Abdelahi de la Mauritanie, Omar Bongo du Gabon, Abdoulaye Wade du Sénégal et leur hôte Mouammar Kadhafi de la Libye, ont tenu un mini sommet dimanche à Tripoli pour discuter du Darfour et ses effets sur les frontières soudanaises avec le Tchad et la Centrafrique.
Le porte-parole de la présidence égyptienne, M. Solyman Awad, a déclaré que le sommet compte élargir le fondement même de l’accord de paix de Abuja, signé par le gouvernement soudanais et certains groupes rebelles.
« Cette rencontre est aussi basée sur les réalisations des mini-sommets précédents qui avaient regroupés les parties concernées », a-t-il dit.
Lors de leur réunion, les présidents africains ont souligné la nécessité de négocier avec bonne volonté afin que la paix puisse régner dans cette région.
La Libye joue un rôle capital dans la région et avait accueilli un certain nombre de négociations dans le but de trouver une solution durable au problème du Darfour et apaiser la tension au niveau des frontières entre le Tchad et le Soudan.
Le secrétaire d’Etat au ministère des Affaires étrangères du Soudan, M. Sammani Al Wassila, avait indiqué samedi à Khartoum que le sommet devait "examiner les relations entre le Soudan et le Tchad « suite à l’agression répétée du Tchad » contre différentes zones dans la région du Darfour, dans l’ouest Soudan."
Le mini sommet de Tripoli, qui s’est réuni pour une journée, a aussi discuté des éléments de l’ordre du jour du prochain sommet de l’Union Africaine (UA) qui se tiendra du 31 janvier au 2 février prochain à Addis-Abeba, notamment la proposition libyenne pour la création des Etats-Unis d’Afrique.
«Les chefs d’Etat ont également discuté de la succession du président de la Commission de l’UA et de ses commissaires, » a précisé M. Solyman Awad.
Pendant le mini sommet, les présidents africains ont expliqué les positions de leurs pays par rapport à l’ordre du jour du prochain sommet de l’UA.
Les chefs d’Etat ont reconnu la nécessité de continuer la structuration des institutions financiers et économiques de l’Union Africaine comme étape dans le but de créer les Etats-Unis d’Afrique.
Le président Abdoulaye Wade du Sénégal a affirmé que les chefs d’Etat avaient un point de vue identique à ce sujet.
Source: APA
(M)
Le porte-parole de la présidence égyptienne, M. Solyman Awad, a déclaré que le sommet compte élargir le fondement même de l’accord de paix de Abuja, signé par le gouvernement soudanais et certains groupes rebelles.
« Cette rencontre est aussi basée sur les réalisations des mini-sommets précédents qui avaient regroupés les parties concernées », a-t-il dit.
Lors de leur réunion, les présidents africains ont souligné la nécessité de négocier avec bonne volonté afin que la paix puisse régner dans cette région.
La Libye joue un rôle capital dans la région et avait accueilli un certain nombre de négociations dans le but de trouver une solution durable au problème du Darfour et apaiser la tension au niveau des frontières entre le Tchad et le Soudan.
Le secrétaire d’Etat au ministère des Affaires étrangères du Soudan, M. Sammani Al Wassila, avait indiqué samedi à Khartoum que le sommet devait "examiner les relations entre le Soudan et le Tchad « suite à l’agression répétée du Tchad » contre différentes zones dans la région du Darfour, dans l’ouest Soudan."
Le mini sommet de Tripoli, qui s’est réuni pour une journée, a aussi discuté des éléments de l’ordre du jour du prochain sommet de l’Union Africaine (UA) qui se tiendra du 31 janvier au 2 février prochain à Addis-Abeba, notamment la proposition libyenne pour la création des Etats-Unis d’Afrique.
«Les chefs d’Etat ont également discuté de la succession du président de la Commission de l’UA et de ses commissaires, » a précisé M. Solyman Awad.
Pendant le mini sommet, les présidents africains ont expliqué les positions de leurs pays par rapport à l’ordre du jour du prochain sommet de l’UA.
Les chefs d’Etat ont reconnu la nécessité de continuer la structuration des institutions financiers et économiques de l’Union Africaine comme étape dans le but de créer les Etats-Unis d’Afrique.
Le président Abdoulaye Wade du Sénégal a affirmé que les chefs d’Etat avaient un point de vue identique à ce sujet.
Source: APA
(M)