Depuis près de trois mois les habitants des localités de Breun, de Tekeche et de Dieuk dans le Trarza ont soif. La société privée chargée du traitement de l’eau a fermé ses portes obligeant ainsi les populations à chercher l’eau du fleuve et des puits difficilement d’accès.
Cette situation de pénurie d’eau dans trois localités du Trarza perdure et remet sur le tapis le problème d’approvisionnement en eau potable. Un mois après la visite du ministre de l’Hydraulique à Rosso, les habitants de Breun, de Tekeche et de Dieuk déplorent le laxisme des autorités locales administratives pour faire face au départ de la société privée chargée du traitement de l’eau.
C’est l’absence d’un plan pour répondre d’une manière générale à la crise de l’eau dans cette région, qui est pointée du doigt par les observateurs. Les limogeages de responsables de la Société nationale de l’Eau pour faute de gestion ne servent à quelque chose que s’ils sont suivis de mesures d’accompagnement pour l’accès à l’eau pour tous. En attendant les populations meurent de soif et se débrouillent avec l’eau du fleuve avec tous les risques de santé et espérer trouver de l’eau dans les puits profonds après des efforts considérables.
Cherif Kane
Source : Kassataya
Cette situation de pénurie d’eau dans trois localités du Trarza perdure et remet sur le tapis le problème d’approvisionnement en eau potable. Un mois après la visite du ministre de l’Hydraulique à Rosso, les habitants de Breun, de Tekeche et de Dieuk déplorent le laxisme des autorités locales administratives pour faire face au départ de la société privée chargée du traitement de l’eau.
C’est l’absence d’un plan pour répondre d’une manière générale à la crise de l’eau dans cette région, qui est pointée du doigt par les observateurs. Les limogeages de responsables de la Société nationale de l’Eau pour faute de gestion ne servent à quelque chose que s’ils sont suivis de mesures d’accompagnement pour l’accès à l’eau pour tous. En attendant les populations meurent de soif et se débrouillent avec l’eau du fleuve avec tous les risques de santé et espérer trouver de l’eau dans les puits profonds après des efforts considérables.
Cherif Kane
Source : Kassataya