Depuis 2019 il ne se passe pas un mois sans que les gendarmes du ministère du commerce et de l’industrie ne verbalisent les commerçants fraudeurs qui ont pignon sur rue dans les boucheries les restaurants les épiceries et les grandes surfaces de la capitale. Des infractions qui tendent à devenir des normes au niveau des commerçants.
Cette tendance à la fraude des commerçants inquiète les consommateurs mauritaniens à Nouakchott comme à l’intérieur du pays. En septembre dernier avec 120 tonnes de produits périmés saisis dont 3 tonnes à Nouadhibou et d’importantes quantités de jus de mangue impropres à la consommation saisies à Kankossa dans l’Assaba. Et sans compter les 24 tonnes de sucres impropres à la consommation.
Les infractions légères tournent au tour de l’absence des listes des prix, des factures et du monopole et de la spéculation. La tendance à fermer les commerces puis les rouvrir après le paiement des amendes au trésor public s’apparente à un jeu auquel sont habitués les fraudeurs du commerce depuis quatre ans . Ce qui laisse penser que la fraude se normalise. Un durcissement des lois s’impose. La sensibilisation à elle seule ne suffit pas face à des commerçants véreux d’où qu’ils viennent de la petite et grande surface, de la boucherie ou de la restauration.
Cherif Kane
Source : Kassataya
Cette tendance à la fraude des commerçants inquiète les consommateurs mauritaniens à Nouakchott comme à l’intérieur du pays. En septembre dernier avec 120 tonnes de produits périmés saisis dont 3 tonnes à Nouadhibou et d’importantes quantités de jus de mangue impropres à la consommation saisies à Kankossa dans l’Assaba. Et sans compter les 24 tonnes de sucres impropres à la consommation.
Les infractions légères tournent au tour de l’absence des listes des prix, des factures et du monopole et de la spéculation. La tendance à fermer les commerces puis les rouvrir après le paiement des amendes au trésor public s’apparente à un jeu auquel sont habitués les fraudeurs du commerce depuis quatre ans . Ce qui laisse penser que la fraude se normalise. Un durcissement des lois s’impose. La sensibilisation à elle seule ne suffit pas face à des commerçants véreux d’où qu’ils viennent de la petite et grande surface, de la boucherie ou de la restauration.
Cherif Kane
Source : Kassataya