La plainte du président de l’UFP contre le député de SAWAB-RAG pour diffamation, calomnie et atteinte à la vie personnelle ouvre une bataille juridique entre les deux leaders de l’opposition démocratique à quelques mois des présidentielles.
Le torchon brûle entre deux poids lourds de l’opposition démocratique. En portant plainte le député Biram Abeid pour l’avoir accusé d’avoir reçu 500 millions d’ouguiyas d’un homme d’affaires lors de la présidentielle de 2019, Ould Maouloud tient à se laver de tout soupçon et engager une procédure judiciaire pour faire la lumière sur ces graves accusations de corruption dans une élection présidentielle. Cette plainte relance le financement des partis politiques à cinq mois des présidentielles de juin prochain. Et au delà c’est la cybercriminalité qui est pointée du doigt.Une bataille juridique qui risque de compromettre la candidature de l’un des leaders au moment où Biram Abeid s’est déclaré candidat pour la quatrième fois.
C’est un feuilleton politico- juridique inattendu qui va peser sur un éventuel dialogue politique avant juin prochain entre le pouvoir et l’opposition déjà divisée sur le pacte républicain dont l’UFP est l’un des signataires. Ce nouveau climat des affaires au sein de l’opposition est une aubaine pour le parti au pouvoir INSAF qui va accentuer son avantage sur ses plus grands rivaux en particulier Biram Abeid considéré l’un des favoris.
Cherif Kane
Source : Kassataya
Le torchon brûle entre deux poids lourds de l’opposition démocratique. En portant plainte le député Biram Abeid pour l’avoir accusé d’avoir reçu 500 millions d’ouguiyas d’un homme d’affaires lors de la présidentielle de 2019, Ould Maouloud tient à se laver de tout soupçon et engager une procédure judiciaire pour faire la lumière sur ces graves accusations de corruption dans une élection présidentielle. Cette plainte relance le financement des partis politiques à cinq mois des présidentielles de juin prochain. Et au delà c’est la cybercriminalité qui est pointée du doigt.Une bataille juridique qui risque de compromettre la candidature de l’un des leaders au moment où Biram Abeid s’est déclaré candidat pour la quatrième fois.
C’est un feuilleton politico- juridique inattendu qui va peser sur un éventuel dialogue politique avant juin prochain entre le pouvoir et l’opposition déjà divisée sur le pacte républicain dont l’UFP est l’un des signataires. Ce nouveau climat des affaires au sein de l’opposition est une aubaine pour le parti au pouvoir INSAF qui va accentuer son avantage sur ses plus grands rivaux en particulier Biram Abeid considéré l’un des favoris.
Cherif Kane
Source : Kassataya