Les observateurs reviennent cette semaine sur les nominations monocolores des commissariats de police à Nouakchott et à l’intérieur du pays et certaines directions régionales de la sûreté avec un nouveau commissariat spécial du palais de justice qui complète le système de répression symbolisé déjà par la troisième brigade de maintien de l’ordre.
C’est la politique discriminatoire inflexible du régime de Ould Ghazouani qui s’accélère à une vitesse d’un TGV à une année de la fin du quinquennat. Des nominations monocolores de commissaires de police à Nouakchott et à l’intérieur du pays et de certains directeurs régionaux de la sureté.
C’est l’arsenal de répression policière qui s’installe et se renforce avec un nouveau commissariat spécial du palais de justice. Cette création apparaît comme un chainon qui manque à la suite de trois grandes affaires d’assassinat de citoyens dont un militant pour les droits de l’homme dans des commissariats de police à Nouakchott.
Désormais la justice en tant que juge et partie pourrait étouffer les crimes directement sans autopsie et encore moins d’enquêtes sur les circonstances de mort après interpellation. Ould Ghazouani initie ainsi des commissariats mouroirs pour les citoyens. Les Mauritaniens ne sont plus en sécurité depuis 2019. Le commandement monocolore qui perdure est contraire à un Etat de droit.
Cherif Kane
Source : Kassataya
C’est la politique discriminatoire inflexible du régime de Ould Ghazouani qui s’accélère à une vitesse d’un TGV à une année de la fin du quinquennat. Des nominations monocolores de commissaires de police à Nouakchott et à l’intérieur du pays et de certains directeurs régionaux de la sureté.
C’est l’arsenal de répression policière qui s’installe et se renforce avec un nouveau commissariat spécial du palais de justice. Cette création apparaît comme un chainon qui manque à la suite de trois grandes affaires d’assassinat de citoyens dont un militant pour les droits de l’homme dans des commissariats de police à Nouakchott.
Désormais la justice en tant que juge et partie pourrait étouffer les crimes directement sans autopsie et encore moins d’enquêtes sur les circonstances de mort après interpellation. Ould Ghazouani initie ainsi des commissariats mouroirs pour les citoyens. Les Mauritaniens ne sont plus en sécurité depuis 2019. Le commandement monocolore qui perdure est contraire à un Etat de droit.
Cherif Kane
Source : Kassataya