Au moment où des tractations obscures auraient repris entre le pouvoir et les organisations nationales des victimes du passif humanitaire à Nouakchott, l’AVOMM ( Aide aux Veuves et Orphelins des Militaires de Mauritanie) fait le point de la situation pour éclairer l’opinion nationale et internationale sur ce premier génocide mauritanien sous le régime de Ould Taya de 1989 à 1991.
En effet depuis 2021 des pourparlers se sont engagés entre des organisations de la diaspora et nationales victimes du passif humanitaire et Ould Ghazouani. En première ligne du gouvernement l’ancien ministre de l’économie Kane Ousmane. Une personnalité issue de la Vallée pour faire avaler la pilule de la justice transactionnelle basée sur les principes de la Charia.
Autrement dit une compensation financière aux ayants-droits veuves et orphelins des 28 soldats négro-africains assassines par l’armée à la base militaire d’Inal en 1990. Ce qui signifie la non poursuite judiciaire des criminels. L’AVOMM revient sur le rejet de cette solution qui tourne le dos à la vérité et réconciliation nationale. Et la non participation à tout dialogue avec le pouvoir sur cette base qui porte atteinte à la Mémoire des Martyrs négro-africains. En poussant la porte des Nations-Unies l’AVOMM ouvre en 2023 avec les experts internationaux l’espoir d’une justice transactionnelle qui devrait passer par une enquête indépendante pour faire la lumière sur les exactions commises en Mauritanie des années braise de 1986 à 1991.
Une liste des tortionnaires devra être établie pour juger les bourreaux devant des juridictions compétentes même avec l’absence de plaintes selon la convention internationale. C’est clair le passif humanitaire n’est pas l’affaire des militaires au pouvoir où une affaire de sous mais une question nationale donc qui concerne tous les Mauritaniens en particulier les veuves et orphelins et toutes les victimes civiles du génocidaire Ould Taya.
L’opposition institutionnelle sous la houlette de l’opposition au système n’a pas manqué devant l’assemblée nationale lors de sa première session de rappeler la présidence de l’hémicycle par un présume tortionnaire et en demandant aux députés d’observer des prières en la Mémoire des Martyrs négro-africains.
Les tractions entre les parties susmentionnées suspendues en 2021 auraient repris en 2023 et 2024 dans la même perspective. Des négociations pour solder définitivement le passif humanitaire. Cette démarche du pouvoir de justice transactionnelle est incompatible avec l’amnistie de 1993 et le droit international. Pour cette raison l’AVOMM soutient la création d’une coalition parlementaire de suivi pour le règlement définitif du passif humanitaire.
Cherif Kane
Source : Kassataya
En effet depuis 2021 des pourparlers se sont engagés entre des organisations de la diaspora et nationales victimes du passif humanitaire et Ould Ghazouani. En première ligne du gouvernement l’ancien ministre de l’économie Kane Ousmane. Une personnalité issue de la Vallée pour faire avaler la pilule de la justice transactionnelle basée sur les principes de la Charia.
Autrement dit une compensation financière aux ayants-droits veuves et orphelins des 28 soldats négro-africains assassines par l’armée à la base militaire d’Inal en 1990. Ce qui signifie la non poursuite judiciaire des criminels. L’AVOMM revient sur le rejet de cette solution qui tourne le dos à la vérité et réconciliation nationale. Et la non participation à tout dialogue avec le pouvoir sur cette base qui porte atteinte à la Mémoire des Martyrs négro-africains. En poussant la porte des Nations-Unies l’AVOMM ouvre en 2023 avec les experts internationaux l’espoir d’une justice transactionnelle qui devrait passer par une enquête indépendante pour faire la lumière sur les exactions commises en Mauritanie des années braise de 1986 à 1991.
Une liste des tortionnaires devra être établie pour juger les bourreaux devant des juridictions compétentes même avec l’absence de plaintes selon la convention internationale. C’est clair le passif humanitaire n’est pas l’affaire des militaires au pouvoir où une affaire de sous mais une question nationale donc qui concerne tous les Mauritaniens en particulier les veuves et orphelins et toutes les victimes civiles du génocidaire Ould Taya.
L’opposition institutionnelle sous la houlette de l’opposition au système n’a pas manqué devant l’assemblée nationale lors de sa première session de rappeler la présidence de l’hémicycle par un présume tortionnaire et en demandant aux députés d’observer des prières en la Mémoire des Martyrs négro-africains.
Les tractions entre les parties susmentionnées suspendues en 2021 auraient repris en 2023 et 2024 dans la même perspective. Des négociations pour solder définitivement le passif humanitaire. Cette démarche du pouvoir de justice transactionnelle est incompatible avec l’amnistie de 1993 et le droit international. Pour cette raison l’AVOMM soutient la création d’une coalition parlementaire de suivi pour le règlement définitif du passif humanitaire.
Cherif Kane
Source : Kassataya