«Les autorités mauritaniennes espèrent produire 170 000 m3 d'eau potable par jour à l'horizon 2010 contre 70 000 seulement aujourd'hui.»
C'est un projet dont on parle en Mauritanie depuis les années soixante-dix: utiliser l'eau du fleuve Sénégal pour approvisionner en eau potable la capitale, Nouakchott, située à environ 200 km plus au nord.
En juillet dernier, 6 bailleurs de fonds, principalement arabes, se sont engagés à financer le projet à hauteur de 308 millions d'euros ; c'est le plus gros marché jamais passé par la Mauritanie depuis son indépendance. Principal bailleur : le FADES, le Fonds arabe pour le développement économique et social, contribue à hauteur de 157 millions d'euros. Suivent les Fonds koweitiens et saoudiens, la Banque africaine de développement, la Banque islamique et le Fonds des pays producteurs de pétrole.
Le chantier a été officiellement inauguré par le président de la République le 28 novembre dernier (jour de la fête nationale mauritanienne). Et l'avancée des travaux est désormais bien visible.
par Manon Rivière
Source: RFI
(M)
C'est un projet dont on parle en Mauritanie depuis les années soixante-dix: utiliser l'eau du fleuve Sénégal pour approvisionner en eau potable la capitale, Nouakchott, située à environ 200 km plus au nord.
En juillet dernier, 6 bailleurs de fonds, principalement arabes, se sont engagés à financer le projet à hauteur de 308 millions d'euros ; c'est le plus gros marché jamais passé par la Mauritanie depuis son indépendance. Principal bailleur : le FADES, le Fonds arabe pour le développement économique et social, contribue à hauteur de 157 millions d'euros. Suivent les Fonds koweitiens et saoudiens, la Banque africaine de développement, la Banque islamique et le Fonds des pays producteurs de pétrole.
Le chantier a été officiellement inauguré par le président de la République le 28 novembre dernier (jour de la fête nationale mauritanienne). Et l'avancée des travaux est désormais bien visible.
par Manon Rivière
Source: RFI
(M)