Absent du pays depuis un mois, en raison d’engagements professionnels, le Président du Mouvement Pour la Refondation, Dr. Kane Hamidou Baba, a fait parvenir à la Présidente de la Coalition des Partis de la Majorité (CPM) une correspondance dans laquelle il demande instamment à la Majorité, l’inscription d’un point d’urgence sur « l’enrôlement qui divise ».
En effet, écrit le Président du MPR, « il ne vous échappe pas, que dès le mois de janvier 2011, au cours de l’audience que le Président de la République avait accordée au bureau de la CPM, j’avais explicitement exprimé au Chef de l’Etat, les lourdes appréhensions qui pesaient sur le projet d’enrôlement ».
« La réponse qui fut donnée, à l’époque, par le Chef de l’Etat - poursuit l’auteur - quoique convaincante quant à l’objectif majeur du projet d’enrôlement, par ailleurs, fondamentalement pertinent, a été finalement contrariée par une mise en œuvre aujourd’hui chaotique ».
« Dans la pratique, l’Agence et ses structures de démembrement ont perdu de vue les objectifs du projet qu’elles étaient censées servir ». Appréciant les informations et témoignages recueillis par le MPR, le Président du Parti souligne : « le tollé soulevé par les pratiques indésirables des centres administratifs d’état civil, n’est pas dénué de fondements ». Et de rappeler que : « les méthodes inquisitoires, inutilement provocatrices et humiliantes, ne sont pas, non plus, sans rappeler un passé récent ayant porté de graves atteintes à l’unité nationale ».
Le Président du MPR a exhorté ses collègues de la Majorité à « unifier leurs positions sur cet enrôlement qui divise, en demandant au gouvernement de marquer une pause pour reconfigurer les structures institutionnelles et le cadre réglementaire de cette opération qui aurait dû être gérée de manière efficace, participative, équitable et transparente.
Evoquant sa propre conviction, le Président du MPR dira en substance que cette demande constitue « une revendication légitime dans l’intérêt supérieur de notre pays ».
La Commission chargée de la communication
Source: MPR
En effet, écrit le Président du MPR, « il ne vous échappe pas, que dès le mois de janvier 2011, au cours de l’audience que le Président de la République avait accordée au bureau de la CPM, j’avais explicitement exprimé au Chef de l’Etat, les lourdes appréhensions qui pesaient sur le projet d’enrôlement ».
« La réponse qui fut donnée, à l’époque, par le Chef de l’Etat - poursuit l’auteur - quoique convaincante quant à l’objectif majeur du projet d’enrôlement, par ailleurs, fondamentalement pertinent, a été finalement contrariée par une mise en œuvre aujourd’hui chaotique ».
« Dans la pratique, l’Agence et ses structures de démembrement ont perdu de vue les objectifs du projet qu’elles étaient censées servir ». Appréciant les informations et témoignages recueillis par le MPR, le Président du Parti souligne : « le tollé soulevé par les pratiques indésirables des centres administratifs d’état civil, n’est pas dénué de fondements ». Et de rappeler que : « les méthodes inquisitoires, inutilement provocatrices et humiliantes, ne sont pas, non plus, sans rappeler un passé récent ayant porté de graves atteintes à l’unité nationale ».
Le Président du MPR a exhorté ses collègues de la Majorité à « unifier leurs positions sur cet enrôlement qui divise, en demandant au gouvernement de marquer une pause pour reconfigurer les structures institutionnelles et le cadre réglementaire de cette opération qui aurait dû être gérée de manière efficace, participative, équitable et transparente.
Evoquant sa propre conviction, le Président du MPR dira en substance que cette demande constitue « une revendication légitime dans l’intérêt supérieur de notre pays ».
La Commission chargée de la communication
Source: MPR