Les habitants de la capitale se sont réveillés ce vendredi devant un fait inédit de l’histoire de notre police nationale à savoir des femmes en chair et en os en tenue policière en train de mettre de l’ordre aux principaux carrefours de Nouakchott à la circulation des automobilistes. A leurs volants, les conducteurs toutes catégories confondues, en plus de leur surprise générale, et étonnés exprimaient un certain soulagement de voir les hommes policiers qui les ont racketté depuis des longues années laisser leurs place à des femmes assurément appliquées au travail et peut être appelées à occuper cette fonction pour mettre fin à des pratiques policières condamnables qui n’arrivent pas à disparaître malgré les mises en garde par les autorités contre tout racket.
Ainsi pour dire dans une démarche très courageuse, le commissariat chargé du trafic routier affilié à la Direction Générale de la Sûreté Nationale a chargé des dizaines de femmes policières de faire à la place de eurs homologues masculins le contrôle de la circulation. Ce qui a poussé certains à se demander s’il s’agit d’un stage pratique pour des élèves policières ou des mesures qui pourraient perdurer mettant du coup fin à ce tabou qui veut que la femme reste constamment marginalisée. Ce qui n’est pas le cas, car après l’armée, les douanes, la gendarmerie, les pompiers voilà que la police complète le tableau en mettant ces femmes à faction. La seule différence pourrait être celle qui porte à dire que ces dernières seront présentes dans les rues ce qui diffère de la tentation decouleur.
Toujours est-il que ces femmes policières ont été plantées dans les principaux carrefours de la capitale notamment ceux où la circulation est très dense. Un travail difficile et pénible attend donc ses stagiaires en mouvement permanent dans la canicule au milieu des minibus, des taxis…Au début, plusieurs personnes se sont rassemblées pour voir ces nouvelles intruses faire leur devoir et beaucoup de questions ont été posées comme par exemple celles de savoir si elles travailleront de nuit et si elles feront honnêtement leur boulot ou non ? Ceci dit plusieurs enseignements se dégagent de cette nouvelle situation qui ne manquera pas d’être un succès ou un échec véritable.
Il n’en demeure pas moins que certains conducteurs sont plus confiants d’être en présence de femmes policières qui se contenteraient dans leur besogne de constater la régularité des papiers sans plus ni moins. Des femmes policières qui pourraient être intraitables avec les sans permis, les automobilistes qui brûlent le feu…Mais certains automobilistes craignent que ces femmes policières n’aient pour formateurs que certains de leurs homologues masculins habitués à la corruption et au racket. Justement ce qui nous amène à nous demander si les 200 Um généralement donnés par les conducteurs aux policiers qui gardent leurs papiers même s’ils sont en règle, ou les immobilisent injustement vont finalement disparaître ou seraient réviser par la nouvelle génération policière à 2000 Um. Sur un autre plan, disons que cette démarche a certainement quelque chose de bon dans la mesure où elle pourrait ouvrir la porte à une nouvelle conception du rôle de la police dans notre pays qui rappelons-le consiste à faire des enquêtes ou le contrôle de la circulation routière ; tout en travaillant également en étroite collaboration avec les autres polices (police politique et services d'espionnage). Enfin on est à se demander si ces femmes policières feront comme leurs homologues masculins en affichant beaucoup de tolérance aux femmes conductrices ou le seront-elles plutôt avec les hommes automobilistes.
Et pour terminer, disons que ces femmes policières difficiles à approcher, car représentant la première promotion de femmes policiers en Mauritanie peuvent vraiment relever le défi si elles le veulent.Pour terminer disons que ces nouvelles policières n’auront pas une tâche mince car en terre d’Islam c’est vraiment le comble du déshonneur de voir des femmes aussi ostentatoires et surtout qui peuvent aller jusqu’à réprimander des automobilistes en leur intimement des ordres. Ce qui n’est pas à écarter et que des barbus peuvent bien être l’objet.
MN
Note: © Copyright www.pointschauds.info
Ainsi pour dire dans une démarche très courageuse, le commissariat chargé du trafic routier affilié à la Direction Générale de la Sûreté Nationale a chargé des dizaines de femmes policières de faire à la place de eurs homologues masculins le contrôle de la circulation. Ce qui a poussé certains à se demander s’il s’agit d’un stage pratique pour des élèves policières ou des mesures qui pourraient perdurer mettant du coup fin à ce tabou qui veut que la femme reste constamment marginalisée. Ce qui n’est pas le cas, car après l’armée, les douanes, la gendarmerie, les pompiers voilà que la police complète le tableau en mettant ces femmes à faction. La seule différence pourrait être celle qui porte à dire que ces dernières seront présentes dans les rues ce qui diffère de la tentation decouleur.
Toujours est-il que ces femmes policières ont été plantées dans les principaux carrefours de la capitale notamment ceux où la circulation est très dense. Un travail difficile et pénible attend donc ses stagiaires en mouvement permanent dans la canicule au milieu des minibus, des taxis…Au début, plusieurs personnes se sont rassemblées pour voir ces nouvelles intruses faire leur devoir et beaucoup de questions ont été posées comme par exemple celles de savoir si elles travailleront de nuit et si elles feront honnêtement leur boulot ou non ? Ceci dit plusieurs enseignements se dégagent de cette nouvelle situation qui ne manquera pas d’être un succès ou un échec véritable.
Il n’en demeure pas moins que certains conducteurs sont plus confiants d’être en présence de femmes policières qui se contenteraient dans leur besogne de constater la régularité des papiers sans plus ni moins. Des femmes policières qui pourraient être intraitables avec les sans permis, les automobilistes qui brûlent le feu…Mais certains automobilistes craignent que ces femmes policières n’aient pour formateurs que certains de leurs homologues masculins habitués à la corruption et au racket. Justement ce qui nous amène à nous demander si les 200 Um généralement donnés par les conducteurs aux policiers qui gardent leurs papiers même s’ils sont en règle, ou les immobilisent injustement vont finalement disparaître ou seraient réviser par la nouvelle génération policière à 2000 Um. Sur un autre plan, disons que cette démarche a certainement quelque chose de bon dans la mesure où elle pourrait ouvrir la porte à une nouvelle conception du rôle de la police dans notre pays qui rappelons-le consiste à faire des enquêtes ou le contrôle de la circulation routière ; tout en travaillant également en étroite collaboration avec les autres polices (police politique et services d'espionnage). Enfin on est à se demander si ces femmes policières feront comme leurs homologues masculins en affichant beaucoup de tolérance aux femmes conductrices ou le seront-elles plutôt avec les hommes automobilistes.
Et pour terminer, disons que ces femmes policières difficiles à approcher, car représentant la première promotion de femmes policiers en Mauritanie peuvent vraiment relever le défi si elles le veulent.Pour terminer disons que ces nouvelles policières n’auront pas une tâche mince car en terre d’Islam c’est vraiment le comble du déshonneur de voir des femmes aussi ostentatoires et surtout qui peuvent aller jusqu’à réprimander des automobilistes en leur intimement des ordres. Ce qui n’est pas à écarter et que des barbus peuvent bien être l’objet.
MN
Note: © Copyright www.pointschauds.info