Lancé le mardi 12 juillet dans la moughataa d'El Mina, le programme viserait à assurer une nutrition saine à 3.362 enfants et 796 femmes en état de grossesse ou allaitantes, à travers la fourniture de deux repas quotidiens aux bénéficiaires.
Son but serait de lutter contre les différentes formes de malnutritions qui affectent les enfants de 0 à 5 ans. Au nombre de 104, ils viennent s’ajouter aux 790 autres centres de nutrition communautaire déjà ouverts sur toute l’étendue du territoire national, selon le commissaire à la sécurité alimentaire, Ould Mohamedou.
Censés accueillir les enfants atteints de malnutrition modéré, les centres de nutrition communautaire ne jouent pas pleinement leur rôle d’avant-gardiste, à cause de leur manque de moyens. Nombreux CRENAM (Centres de récupération nutritionnelle pour les enfants malnutris) subsistent aujourd’hui, grâce aux dons des organismes internationaux. Dépourvus de moyens, les centres communautaires n’arrivent plus à assurer aux enfants atteints de malnutrition modérée, les deux repas quotidiens.
Alors pourquoi chercher à ouvrir d’autres centres communautaires? Le budget utilisé pouvait servir à financer les programmes et actions de prévention contre la malnutrition. Ces interventions constituent des moyens efficaces et rentables pour réduire la mortalité et les maladies chez les enfants. Elles favorisent et préservent aussi la croissance, le développement mental et les capacités d’apprentissage de l’enfant, ainsi que sa productivité à l’âge adulte. Ces interventions se traduisent par des campagnes de masse de promotion de l’allaitement maternel, par des soins nutritionnels appropriés aux enfants malades et malnutris, par des campagnes de supplémentation de vitamine A et de zinc… ils consistent aussi à distribuer des vivres dans les familles pauvres, à faire des tournées médicales périodiques.
Définit comme un déséquilibre entre les apports en éléments nutritifs et les besoins de l’organisme, les causes de la malnutrition infantile et maternelle sont multiples : maladies, consommation alimentaire inadéquate, pauvreté…Leurs conséquences sont multiples : mortalité, morbidité et handicap, réduction des capacités physique et de la productivité humaine, retard de croissance et de développement, maladies chroniques, cardiovasculaires et métaboliques.
Selon Action contre la Faim (ACF), la malnutrition maternelle et infantile est la cause sous-jacente de 3,5 millions de morts chaque année. Selon l’organisme international, elle est responsable de 35% des maladies affectant les enfants de moins de cinq ans.
Dialtabé
Source: quotidien-nouakchott
Son but serait de lutter contre les différentes formes de malnutritions qui affectent les enfants de 0 à 5 ans. Au nombre de 104, ils viennent s’ajouter aux 790 autres centres de nutrition communautaire déjà ouverts sur toute l’étendue du territoire national, selon le commissaire à la sécurité alimentaire, Ould Mohamedou.
Censés accueillir les enfants atteints de malnutrition modéré, les centres de nutrition communautaire ne jouent pas pleinement leur rôle d’avant-gardiste, à cause de leur manque de moyens. Nombreux CRENAM (Centres de récupération nutritionnelle pour les enfants malnutris) subsistent aujourd’hui, grâce aux dons des organismes internationaux. Dépourvus de moyens, les centres communautaires n’arrivent plus à assurer aux enfants atteints de malnutrition modérée, les deux repas quotidiens.
Alors pourquoi chercher à ouvrir d’autres centres communautaires? Le budget utilisé pouvait servir à financer les programmes et actions de prévention contre la malnutrition. Ces interventions constituent des moyens efficaces et rentables pour réduire la mortalité et les maladies chez les enfants. Elles favorisent et préservent aussi la croissance, le développement mental et les capacités d’apprentissage de l’enfant, ainsi que sa productivité à l’âge adulte. Ces interventions se traduisent par des campagnes de masse de promotion de l’allaitement maternel, par des soins nutritionnels appropriés aux enfants malades et malnutris, par des campagnes de supplémentation de vitamine A et de zinc… ils consistent aussi à distribuer des vivres dans les familles pauvres, à faire des tournées médicales périodiques.
Définit comme un déséquilibre entre les apports en éléments nutritifs et les besoins de l’organisme, les causes de la malnutrition infantile et maternelle sont multiples : maladies, consommation alimentaire inadéquate, pauvreté…Leurs conséquences sont multiples : mortalité, morbidité et handicap, réduction des capacités physique et de la productivité humaine, retard de croissance et de développement, maladies chroniques, cardiovasculaires et métaboliques.
Selon Action contre la Faim (ACF), la malnutrition maternelle et infantile est la cause sous-jacente de 3,5 millions de morts chaque année. Selon l’organisme international, elle est responsable de 35% des maladies affectant les enfants de moins de cinq ans.
Dialtabé
Source: quotidien-nouakchott