«Si on parle au nom de l’islam, il faut l’avoir étudié(…). Ce qui est inscrit clairement dans le Coran et dans les hadîths, c’est extrêmement loin du terrorisme, de l’intégrisme…»
La Mauritanie a vécu comme un électrochoc le quadruple meurtre d’Aleg, le 24 décembre dernier. Une attaque terroriste suivie de deux autres attentats dans le Nord du pays. Les Mauritaniens prennent conscience que quelque chose a changé. Ainsi hier, le Forum de la pensée islamique et l’Ecole normale supérieure de Nouakchott ont organisé un premier colloque commun dans un hôtel de la capitale, afin de commencer à réfléchir ensemble au rôle de l’éducation dans la lutte contre l’intégrisme.
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Source: RFI
(M)