Les vagues de contestations, de critiques, de sit-in auraient poussé les responsables de l’ Agence Nationale du Registre de la Population et la Sécurisation des Documents dirigé par Mrabih Rabou Ould El Hadrami à repenser les conditions de recensement et d’identification des populations, a-t-on appris mercredi soir de source politique.
« Je sais d’ores et déjà et de source sûre qu’une commission s’est réunie depuis deux jours pour revoir les opérations de recensement en cours et d’amener quelques assouplissements », a indiqué cette source, affirmant qu’elle attend de voir ce que les responsables de l’ Agence Nationale du Registre de la Population et la Sécurisation des Documents vont sortir de nouveau.
Depuis le début des opérations de recensement, des élus du peuple, des responsables de partis politiques, des personnalités de la société civile sont montés au créneau soit pour hausser le ton, soit pour demander purement et simplement l’arrêt des opérations du processus de recensement ou pour dénoncer certaines questions choquantes que posaient les agents chargés du recensement.
A titre de rappel, pour lutter contre le terrorisme islamiste, le trafic de drogue et l’émigration clandestine, le gouvernement mauritanien avait fait adopter, par l’Assemblée Nationale, au mois de décembre 2010, une loi instituant un nouveau code de l’Etat-civil qui vise « à corriger les carences constatées dans le système d’état-civil actuel, avec une nouvelle méthode d’identification des personnes en introduisant la technique de la biométrie et des techniques les plus avancées dans la gestion des données ».
Source: Info2larue
« Je sais d’ores et déjà et de source sûre qu’une commission s’est réunie depuis deux jours pour revoir les opérations de recensement en cours et d’amener quelques assouplissements », a indiqué cette source, affirmant qu’elle attend de voir ce que les responsables de l’ Agence Nationale du Registre de la Population et la Sécurisation des Documents vont sortir de nouveau.
Depuis le début des opérations de recensement, des élus du peuple, des responsables de partis politiques, des personnalités de la société civile sont montés au créneau soit pour hausser le ton, soit pour demander purement et simplement l’arrêt des opérations du processus de recensement ou pour dénoncer certaines questions choquantes que posaient les agents chargés du recensement.
A titre de rappel, pour lutter contre le terrorisme islamiste, le trafic de drogue et l’émigration clandestine, le gouvernement mauritanien avait fait adopter, par l’Assemblée Nationale, au mois de décembre 2010, une loi instituant un nouveau code de l’Etat-civil qui vise « à corriger les carences constatées dans le système d’état-civil actuel, avec une nouvelle méthode d’identification des personnes en introduisant la technique de la biométrie et des techniques les plus avancées dans la gestion des données ».
Source: Info2larue