réfugiés se trouvant au Sénégal et au Mali), d'une solution par rapport aux pratiques et séquelles de l'esclavage et la libération des 21 islamistes "salafistes" détenus à titre préventif depuis plusieurs mois à la prison centrale de Nouakchott.
Le premier responsable du RFD s'exprimait à l'occasion d'une conférence de presse au cours de laquelle il a procédé à un bilan de la transition en Mauritanie un peu plus de trois mois après
l'arrivée au pouvoir du colonel Ely Ould Mohamed Vall et ses cpagnons du Conseil militaire pour la justice et la démocratie(CMJD).
Ahmed Daddah, qui a rappelé que ces problèmes ont été soumis auxnouvelles autorités sans réponse, estime que leur "solution vadans le sens de l'unité nationale et de la réconciliation entretous les Mauritaniens".
Les nouvelles autorités, rappelle-t-on, préfèrent laisser à unpouvoir élu le règlement de certaines questions : passifhumanitaire, esclavage, cohabitation communautaire, estimant que
la priorité va à la mise en place d'un système véritable dedémocratie pendant la période de transition.
La question des réfugiés et déportés et le passif humanitairelégué par l'ancien régime ont pour point de départ l'année 1989après les affrontements ethniques qui ont fait plusieurs morts de
part et d'autre du fleuve Sénégal.
Le secrétaire général du RFD a par ailleurs réclamé au cours dela même conférence de presse "l'accélération des changements,notamment au niveau de la direction des grandes entreprises
publiques et de l'administration territoriale pour donner unsignal encore plus fort aux Mauritaniens".
Le candidat malheureux aux élections présidentielles de 1992 et2003 a toutefois jugé "largement positif" les trois mois de règnedu nouveau pouvoir militaire qui se sont déroulés "dans un climat
de liberté, qui tranche avec la crispation et le blocage de lasituation politique constatés pendant les 20 ans de pouvoir durégime renversé le 3 août dernier".
Il s'est dit satisfait de la tenue des Journées nationales deconcertation qui se sont déroulées du 25 au 29 octobre dernier,de la naissance de la Commission électorale nationaleindépendante (CENI) et de la réduction de la période detransition de 24 à 19 mois seulement.
Après avoir rappelé que sa préférence est toujours allée vers unchangement démocratique et par les urnes, le leader du RFD asoutenu qu'une telle perspective était "impossible" avec lerégime de Ould Taya, fermé à toute possibilité de dialogue pourjustifier l'irruption sur la scène politique des colonels du
CMJD.
Le premier responsable du RFD s'exprimait à l'occasion d'une conférence de presse au cours de laquelle il a procédé à un bilan de la transition en Mauritanie un peu plus de trois mois après
l'arrivée au pouvoir du colonel Ely Ould Mohamed Vall et ses cpagnons du Conseil militaire pour la justice et la démocratie(CMJD).
Ahmed Daddah, qui a rappelé que ces problèmes ont été soumis auxnouvelles autorités sans réponse, estime que leur "solution vadans le sens de l'unité nationale et de la réconciliation entretous les Mauritaniens".
Les nouvelles autorités, rappelle-t-on, préfèrent laisser à unpouvoir élu le règlement de certaines questions : passifhumanitaire, esclavage, cohabitation communautaire, estimant que
la priorité va à la mise en place d'un système véritable dedémocratie pendant la période de transition.
La question des réfugiés et déportés et le passif humanitairelégué par l'ancien régime ont pour point de départ l'année 1989après les affrontements ethniques qui ont fait plusieurs morts de
part et d'autre du fleuve Sénégal.
Le secrétaire général du RFD a par ailleurs réclamé au cours dela même conférence de presse "l'accélération des changements,notamment au niveau de la direction des grandes entreprises
publiques et de l'administration territoriale pour donner unsignal encore plus fort aux Mauritaniens".
Le candidat malheureux aux élections présidentielles de 1992 et2003 a toutefois jugé "largement positif" les trois mois de règnedu nouveau pouvoir militaire qui se sont déroulés "dans un climat
de liberté, qui tranche avec la crispation et le blocage de lasituation politique constatés pendant les 20 ans de pouvoir durégime renversé le 3 août dernier".
Il s'est dit satisfait de la tenue des Journées nationales deconcertation qui se sont déroulées du 25 au 29 octobre dernier,de la naissance de la Commission électorale nationaleindépendante (CENI) et de la réduction de la période detransition de 24 à 19 mois seulement.
Après avoir rappelé que sa préférence est toujours allée vers unchangement démocratique et par les urnes, le leader du RFD asoutenu qu'une telle perspective était "impossible" avec lerégime de Ould Taya, fermé à toute possibilité de dialogue pourjustifier l'irruption sur la scène politique des colonels du
CMJD.