La Guinée-Bissau est profondément vulnérable à des attaques terroristes en provenance de l’extérieur, a reconnu mercredi le Premier ministre bissau-guinéen, Martinho Ndafa Cabi dont le pays fait l’objet de menaces de la part des présumés extrémistes islamistes mauritaniens.
« La Guinée-Bissau est profondément vulnérable à des attaques terroristes. Nous prenons au sérieux les menaces proférées contre notre pays par ces gens là », a-t-il déclaré peu avant son départ pour Ouagadougou au Burkina Faso où il doit représenter son pays au Sommet des chefs d’Etat et des gouvernements de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) prévu jeudi.
Cette déclaration intervient quatre jours après les menaces proférées contre la Guinée-Bissau par les deux assassins présumés des quatre touristes français et leurs trois complices extradés samedi vers Nouakchott.
Les islamistes mauritaniens avaient en effet déclaré peu avant leur extradition vers leur pays que « la Guinée-Bissau va payer cher pour avoir maltraité les combattants de l’Islam ».
Face à ces menaces terroristes, Martinho Ndafa Cabi a annoncé que le gouvernement bissau-guinéen va se réunir dans les jours á venir pour réfléchir sur les mesures á prendre pour renforcer la sécurité dans le pays.
« Nous allons prendre toutes les mesures nécessaires pour pouvoir faire face á des éventuelles représailles contre notre pays », a-t-il précisé.
Source: APA
(M)
« La Guinée-Bissau est profondément vulnérable à des attaques terroristes. Nous prenons au sérieux les menaces proférées contre notre pays par ces gens là », a-t-il déclaré peu avant son départ pour Ouagadougou au Burkina Faso où il doit représenter son pays au Sommet des chefs d’Etat et des gouvernements de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) prévu jeudi.
Cette déclaration intervient quatre jours après les menaces proférées contre la Guinée-Bissau par les deux assassins présumés des quatre touristes français et leurs trois complices extradés samedi vers Nouakchott.
Les islamistes mauritaniens avaient en effet déclaré peu avant leur extradition vers leur pays que « la Guinée-Bissau va payer cher pour avoir maltraité les combattants de l’Islam ».
Face à ces menaces terroristes, Martinho Ndafa Cabi a annoncé que le gouvernement bissau-guinéen va se réunir dans les jours á venir pour réfléchir sur les mesures á prendre pour renforcer la sécurité dans le pays.
« Nous allons prendre toutes les mesures nécessaires pour pouvoir faire face á des éventuelles représailles contre notre pays », a-t-il précisé.
Source: APA
(M)