Chaque année que Dieu fait , les parents d’élèves aux maigres bourses, redoutent comme la peste les échéances d’ouverture des classes synonymes de stress compte tenu des dépenses qui se multiplient.
Ces ouvertures de classe coïncidant pour la plupart des cas avec des fêtes religieuses Korité etc …hypothéquant toute possibilité de survie pour ces populations qui ne cherchent déjà que là où mourir tannées par des problèmes d’un lendemain incertain. Ainsi, après chaque ouverture des classes les prix des fournitures scolaires prennent-ils une montée vertigineuse décourageant les ménages les moins nantis .Dans cette mafia des prix hors normes, s’ajoute depuis quelques années ce qu’on peut appeler un trafic juteux des livres scolaires au marché noir par l’IPN.
Cette institution dotée d’une imprimerie, avait pourtant comme vocation de disponibiliser ces livres à des prix symboliques : 100, 300, voir 400 ouguiyas.
Faites un tour dans les échoppes sises au bureau des anciens combattants .La cession de ces livres oscille entre 2 500 et 3 000 ouguiya à prendre ou à laisser. Ceci est inacceptable d’autant plus que dans ces livres on y a expressément mentionné (interdit à la vente publique)
Cette forme élaborée de détournement se passe au grand jour sans qu’aucune autorité ne s’en émeuve, et à l’IPN chacun se dit ne pas être concerné par cette affaire, alors qu’on nous tympanise nuit et jour de lutter contre la gabegie.
Des fortunes colossales issues de ces ventes illicites de biens publics sont détournées par quelques individus comme si l’IPN était une entreprise privée .Pourquoi alors ne pas simplement faire appel à la concurrence aux autres imprimeries pour l’édition de ces manuels et les mettre à la disposition du public ,et ne pas privilégier cette institution qui au lieu de faire profiter aux citoyens de ce merveilleux fruit issu de la coopération, ne fait plutôt que les frustrer , les provoquer par sa mauvaise gestion d’un patrimoine collectif.
A l’administration de tutelle concernée par cet ignoble brigandage, les citoyens exigent la fin de ce calvaire et la neutralisation de ces voleurs et leurs complices.
Source: BA Amadou Abdoul
Ces ouvertures de classe coïncidant pour la plupart des cas avec des fêtes religieuses Korité etc …hypothéquant toute possibilité de survie pour ces populations qui ne cherchent déjà que là où mourir tannées par des problèmes d’un lendemain incertain. Ainsi, après chaque ouverture des classes les prix des fournitures scolaires prennent-ils une montée vertigineuse décourageant les ménages les moins nantis .Dans cette mafia des prix hors normes, s’ajoute depuis quelques années ce qu’on peut appeler un trafic juteux des livres scolaires au marché noir par l’IPN.
Cette institution dotée d’une imprimerie, avait pourtant comme vocation de disponibiliser ces livres à des prix symboliques : 100, 300, voir 400 ouguiyas.
Faites un tour dans les échoppes sises au bureau des anciens combattants .La cession de ces livres oscille entre 2 500 et 3 000 ouguiya à prendre ou à laisser. Ceci est inacceptable d’autant plus que dans ces livres on y a expressément mentionné (interdit à la vente publique)
Cette forme élaborée de détournement se passe au grand jour sans qu’aucune autorité ne s’en émeuve, et à l’IPN chacun se dit ne pas être concerné par cette affaire, alors qu’on nous tympanise nuit et jour de lutter contre la gabegie.
Des fortunes colossales issues de ces ventes illicites de biens publics sont détournées par quelques individus comme si l’IPN était une entreprise privée .Pourquoi alors ne pas simplement faire appel à la concurrence aux autres imprimeries pour l’édition de ces manuels et les mettre à la disposition du public ,et ne pas privilégier cette institution qui au lieu de faire profiter aux citoyens de ce merveilleux fruit issu de la coopération, ne fait plutôt que les frustrer , les provoquer par sa mauvaise gestion d’un patrimoine collectif.
A l’administration de tutelle concernée par cet ignoble brigandage, les citoyens exigent la fin de ce calvaire et la neutralisation de ces voleurs et leurs complices.
Source: BA Amadou Abdoul