Plusieurs centaines citoyens allemands ont signé des lettres de protestations et des cartes postales adressées aux autorités Mauritaniennes et dénonçant l'impunité au sujet des cas de pratiques d’esclavage sur M’barka mint Assatim et ses fillettes, le petit Said et son frère Yarg.
L’opération s’est déroulée sous le parrainage conjoint de l’Association Allemande pour la Défense des Peuples Menacés(dirigée par Delius Ulrich et de la section-Europe d'IRA-Mauritanie(dirigée par Abidine ould Merzoug) et dans le cadre de la 23eme édition du Festival Africain de Wurzburg qui s'est déroulé du 02 au 05 juin avec la présence de plusieurs organisations de défense de droits humains.
Biram Dah Abeid, invité par l'Association pour la Défense des Peuples Menacés a pris la parole plusieurs fois dans les locaux réservés au stand de IRA dans ce festival. Le stand, tenu par les militants de IRA-Europe et plusieurs membres de l'association amie allemande ainsi que des traducteurs, a connu un afflux de public très intense.
Les photos grand format des victimes de l'esclavage en Mauritanie ainsi que des documents écris, visuels et sonores étayant l'implication des autorités mauritaniennes dans les mécanismes d'impunité visant à soustraire les criminels d'esclavage à la sanction légale.
Certaines lettres signées par le public, ont pour destinataires, des députés allemands et ceux de l’Union Européenne les exhortant à soutenir les actions d’IRA contre l’entêtement du général Mohamed ould Abdel Aziz et son gouvernement, a confiner les pratiques d’esclavage en République Islamique de Mauritanie dans une zone de non-droit.
Les cas de Said et Mbarka ont été le focus principal de cette action en faveurs de six cent mille personnes qui continuent à vivre l'enfer de l'esclavage par ascendance en Mauritanie. Deux cas d'esclavage dénoncée par IRA et qui ont des portées très significative en ce sens que:
Mbarka mint Assatim, esclave de naissance chez les familles(Ehl Bouh et Ehl Hreitani) proches du chef de l’État; Mbarka (22ans), violée depuis l'age de dix ans(selon sa propre déposition à la police) par Brahim Salem ould Bouh et son fils Elghotob; ses deux fillettes mineures(Oueichita et Doueida, 09 et 07 ans) ayant été extraite par la police judiciaire de Noukchott, suite à la plainte déposée par Mbarka et IRA, respectivement de chez Ehl Bouh et Ehl Hreitani qui les réduisaient en esclavage, Mbarka donc a vu le ministère public refuser de se saisir de son cas et poursuivre les coupables car ceux qui sont pris en flagrant délit de pratiques d'esclavage et de viol sur mineures font partie de la famille du chef de l’État.
Le cas de Said et son frère Yarg(14 et 11 ans) est pendant devant la justice mauritanienne après que le juge en charge du dossier a mis en liberté six des sept présumée esclavagistes qui ont assassiné la scolarité des deux victimes mineures; cette libération injustifiée, car les prévenus ont reconnu les faits graves qui leur sont reprochés, mais cette démarche vise le blanchiment des crimes esclavagistes et les procédés qui y débouchent comme nous y a habitué l'appareil politico-judiciaire mauritanien.
C'est pourquoi, un appel a été lancé par les festivaliers aux défenseurs et organisations des droits humains de par le monde, de venir nombreux observer la suite qui sera donné par le régime mauritanien a ce cas grave avéré d'esclavage qui va certainement constitué le énième cas de pratiques esclavagistes, blanchi par les tribunaux mauritaniens.
Abidine Merzough président de L’IRA-Section-Europe
Source: Biram Dah
L’opération s’est déroulée sous le parrainage conjoint de l’Association Allemande pour la Défense des Peuples Menacés(dirigée par Delius Ulrich et de la section-Europe d'IRA-Mauritanie(dirigée par Abidine ould Merzoug) et dans le cadre de la 23eme édition du Festival Africain de Wurzburg qui s'est déroulé du 02 au 05 juin avec la présence de plusieurs organisations de défense de droits humains.
Biram Dah Abeid, invité par l'Association pour la Défense des Peuples Menacés a pris la parole plusieurs fois dans les locaux réservés au stand de IRA dans ce festival. Le stand, tenu par les militants de IRA-Europe et plusieurs membres de l'association amie allemande ainsi que des traducteurs, a connu un afflux de public très intense.
Les photos grand format des victimes de l'esclavage en Mauritanie ainsi que des documents écris, visuels et sonores étayant l'implication des autorités mauritaniennes dans les mécanismes d'impunité visant à soustraire les criminels d'esclavage à la sanction légale.
Certaines lettres signées par le public, ont pour destinataires, des députés allemands et ceux de l’Union Européenne les exhortant à soutenir les actions d’IRA contre l’entêtement du général Mohamed ould Abdel Aziz et son gouvernement, a confiner les pratiques d’esclavage en République Islamique de Mauritanie dans une zone de non-droit.
Les cas de Said et Mbarka ont été le focus principal de cette action en faveurs de six cent mille personnes qui continuent à vivre l'enfer de l'esclavage par ascendance en Mauritanie. Deux cas d'esclavage dénoncée par IRA et qui ont des portées très significative en ce sens que:
Mbarka mint Assatim, esclave de naissance chez les familles(Ehl Bouh et Ehl Hreitani) proches du chef de l’État; Mbarka (22ans), violée depuis l'age de dix ans(selon sa propre déposition à la police) par Brahim Salem ould Bouh et son fils Elghotob; ses deux fillettes mineures(Oueichita et Doueida, 09 et 07 ans) ayant été extraite par la police judiciaire de Noukchott, suite à la plainte déposée par Mbarka et IRA, respectivement de chez Ehl Bouh et Ehl Hreitani qui les réduisaient en esclavage, Mbarka donc a vu le ministère public refuser de se saisir de son cas et poursuivre les coupables car ceux qui sont pris en flagrant délit de pratiques d'esclavage et de viol sur mineures font partie de la famille du chef de l’État.
Le cas de Said et son frère Yarg(14 et 11 ans) est pendant devant la justice mauritanienne après que le juge en charge du dossier a mis en liberté six des sept présumée esclavagistes qui ont assassiné la scolarité des deux victimes mineures; cette libération injustifiée, car les prévenus ont reconnu les faits graves qui leur sont reprochés, mais cette démarche vise le blanchiment des crimes esclavagistes et les procédés qui y débouchent comme nous y a habitué l'appareil politico-judiciaire mauritanien.
C'est pourquoi, un appel a été lancé par les festivaliers aux défenseurs et organisations des droits humains de par le monde, de venir nombreux observer la suite qui sera donné par le régime mauritanien a ce cas grave avéré d'esclavage qui va certainement constitué le énième cas de pratiques esclavagistes, blanchi par les tribunaux mauritaniens.
Abidine Merzough président de L’IRA-Section-Europe
Source: Biram Dah