Le majestueux fleuve Sénégal, serpentant à travers les terres fertiles, est bien plus qu’un simple cours d’eau. Ses eaux bienfaisantes sont le souffle de vie des villages côtiers. Sur ses rives, les « yeri mayo » mo njarani debele manœuvrent avec dextérité leurs filets depuis des pirogues traditionnelles, récoltant la richesse aquatique qui nourrit les communautés.
Les « Dialtaɓe » des villages, véritable lien social flottant, assurent la traversée des villageois et de leurs biens, facilitant les échanges et les liens entre les deux rives.
Les eaux du Sénégal, bien plus qu’un simple miroir de la nature, alimentent les champs et des « pale » verdoyants au gré des saisons. Les cultures de riz, d’arachide, d’oignons etc. prospèrent grâce à l’irrigation providentielle qu’offre le fleuve, assurant une partie de la subsistance des habitants.
Les troupeaux viennent s’abreuver paisiblement, créant un tableau pastoral où la vie sauvage et la vie humaine coexistent en harmonie. Les femmes, avec l’élégance du quotidien, font leur lessive dans ses eaux, tandis que les enfants, porteurs d’innocence, trouvent joie et apprentissage dans les flots du Sénégal, apprenant à nager et découvrant les secrets de ce cours d’eau qui façonne leur environnement.
Le fleuve Sénégal est bien plus qu’une simple étendue d’eau ; il est le cœur qui fait battre la vie le long de ses rives…
Mayo wona kerol
Aboubacry LAM
Source : Kassataya - (Le 06 janvier 2024)
Les « Dialtaɓe » des villages, véritable lien social flottant, assurent la traversée des villageois et de leurs biens, facilitant les échanges et les liens entre les deux rives.
Les eaux du Sénégal, bien plus qu’un simple miroir de la nature, alimentent les champs et des « pale » verdoyants au gré des saisons. Les cultures de riz, d’arachide, d’oignons etc. prospèrent grâce à l’irrigation providentielle qu’offre le fleuve, assurant une partie de la subsistance des habitants.
Les troupeaux viennent s’abreuver paisiblement, créant un tableau pastoral où la vie sauvage et la vie humaine coexistent en harmonie. Les femmes, avec l’élégance du quotidien, font leur lessive dans ses eaux, tandis que les enfants, porteurs d’innocence, trouvent joie et apprentissage dans les flots du Sénégal, apprenant à nager et découvrant les secrets de ce cours d’eau qui façonne leur environnement.
Le fleuve Sénégal est bien plus qu’une simple étendue d’eau ; il est le cœur qui fait battre la vie le long de ses rives…
Mayo wona kerol
Aboubacry LAM
Source : Kassataya - (Le 06 janvier 2024)