Ibrahima Mochtar Sarr, président de l’AJD /MR (majorité), a précisé à Alakhbar que les discussions ont montré qu’il n'y a pas une différence fondamentale dans les propositions qui sont faites pour renforcer la démocratie.
Il a ajouté qu'il faut donner une importance au premier ministre, renforcer l'assemblée nationale, donner un sens plus important au Conseil constitutionnel, donner une plus grande importance à l'opposition en lui dotant d'une institution qui lui permet de participer à la vie nationale.
De son côté Badahiya Ould Sbaai, député de l’APP (opposition) a déclaré à Alakhbar que les partis de l’opposition qui participent au dialogue ont présenté une plateforme commune qui vise à réduire les prérogatives du Président de la République dans la gestion des affaires publiques, y compris les dossiers liés à la défense et à la sécurité.
Il a également signalé que l’opposition avait proposé l’instauration d’un régime semi-présidentiel, par ce que dans le régime actuel, le président de la république s’accapare de toutes les nominations.
Kane Hamidou Baba, le président du Mouvement pour Refondation(MPR) , un parti de la majorité, a indiqué que les participants ont évoqué le rôle de la presse, et qu’ils ont salué dans ce sens la volonté politique actuelle qui consiste à élargir le paysage audiovisuel en dotant notre pays des radios et télévisions privées, ajoutant que l’accroissement du rôle de la HAPA, était parmi les points abordés dans ce domaine.
Il également appelé à l’assainissement de la vie politique, en proposant le retrait de récépissés des partis politiques qui ne se sont présentés ni en 2006, ni en 2011. En estimant que la même mesure doit être prise contre les partis qui participeront aux prochaines échéances, et qui n’auront pas atteints 1 pourcent aux municipales, ou un député au niveau de la députation.
Le mandataire qui était à l’origine d’un tel parti ne doit pas être autorisé à recréer un autre parti avant 5 ans au moins, Selon Hamidou Baba.
Le président du MPR a fustigé la question de candidatures indépendantes, en appelant à l’interdiction de ce genre de candidatures, jugeant que l’expérience mauritanienne a montré que « les indépendants de 2006 ont tous cherché un refuge à travers un parti politique, c’est que le phénomène n’était pas fiable ».
Source: Alakbar
Il a ajouté qu'il faut donner une importance au premier ministre, renforcer l'assemblée nationale, donner un sens plus important au Conseil constitutionnel, donner une plus grande importance à l'opposition en lui dotant d'une institution qui lui permet de participer à la vie nationale.
De son côté Badahiya Ould Sbaai, député de l’APP (opposition) a déclaré à Alakhbar que les partis de l’opposition qui participent au dialogue ont présenté une plateforme commune qui vise à réduire les prérogatives du Président de la République dans la gestion des affaires publiques, y compris les dossiers liés à la défense et à la sécurité.
Il a également signalé que l’opposition avait proposé l’instauration d’un régime semi-présidentiel, par ce que dans le régime actuel, le président de la république s’accapare de toutes les nominations.
Kane Hamidou Baba, le président du Mouvement pour Refondation(MPR) , un parti de la majorité, a indiqué que les participants ont évoqué le rôle de la presse, et qu’ils ont salué dans ce sens la volonté politique actuelle qui consiste à élargir le paysage audiovisuel en dotant notre pays des radios et télévisions privées, ajoutant que l’accroissement du rôle de la HAPA, était parmi les points abordés dans ce domaine.
Il également appelé à l’assainissement de la vie politique, en proposant le retrait de récépissés des partis politiques qui ne se sont présentés ni en 2006, ni en 2011. En estimant que la même mesure doit être prise contre les partis qui participeront aux prochaines échéances, et qui n’auront pas atteints 1 pourcent aux municipales, ou un député au niveau de la députation.
Le mandataire qui était à l’origine d’un tel parti ne doit pas être autorisé à recréer un autre parti avant 5 ans au moins, Selon Hamidou Baba.
Le président du MPR a fustigé la question de candidatures indépendantes, en appelant à l’interdiction de ce genre de candidatures, jugeant que l’expérience mauritanienne a montré que « les indépendants de 2006 ont tous cherché un refuge à travers un parti politique, c’est que le phénomène n’était pas fiable ».
Source: Alakbar