Cher(es) frères et sœurs
L’heure de la sensibilisation et la prise de conscience a vraiment sonné, puisque ce découpage subjectif de notre ethnie est politiquement indécent.
Nous sommes arrivés à un niveau où ce sont les autorités du pays qui décident à notre place ce que nous sommes et ce que nous ne sommes pas.
Ce recensement en Mauritanie cache de multiples facettes dont nous n’avons pas encore tous finies de découvrir, à moins que le projet d’Aziz soit voué à l’échec.
Si nous ne refusons pas cette dislocation, que les autorités mauritaniennes entrain de faire sur notre communauté, je ne pense pas que quelqu’un d’autres le ferra à notre place.
Nous sommes actuellement dans une situation où nous sommes condamnés à être d’accord sur un seul point, lequel ? Nous sommes tous peuls.
Ce que nous sommes entrain de vivre actuellement est l’une des conséquences directes du retour de quelques déportés dans leur pays, sous la pression des associations, des partis politiques, des ONG et la société civile.
Rappelons nous en peu avant ce recensement les autorités mauritaniennes avaient accepté malgré elles ce retour des déportés, même s’il n’est digne comme nous le souhaitions. C’est une politique d’ajustement démographique que nos autorités ont appliqué sur des populations négro-mauritaniennes. Ce recensement n’est pas à vocation de l’Etat civil, mais à vocation d’exclusion et discrimination (RANVED).
Le poids démographique est un facteur non négligeable pour le développement et la croissance économique d’un pays. La Mauritanie est un des pays dont la densité moyenne est la plus faible au monde. Cette diversité culturelle est un grand atout dont la Mauritanie devrait saisir l’opportunité.
Avec tout ce que nous avions vécu, Aziz est entrain de nous montrer, que Taya n’a rien fait de regrettable et d’autre part, il nous apprend que nous ne sommes pas encore au bout de nos surprises.
C’est une politique de continuité que Aziz et son entourage appliquent à l’égard des négro-mauritaniens après l’ère délicate d’Ould Taya. Il ne fait qu’enfoncer le clou, dans une situation encore aussi précaire, au lieu d’être rassembleur pour l’unité nationale et la paix dans un pays meurtri par le racisme et les tentions intercommunautaires.
Chacun d’entre nous est capable de dénoncer cette injustice qui se passe chez nous où il se trouve quelque soit son isolement grâce aux medias et toutes les contributions sont les biens venues (matière grise, moyen financier…)
Daouda Diop
Source: Daouda Diop
L’heure de la sensibilisation et la prise de conscience a vraiment sonné, puisque ce découpage subjectif de notre ethnie est politiquement indécent.
Nous sommes arrivés à un niveau où ce sont les autorités du pays qui décident à notre place ce que nous sommes et ce que nous ne sommes pas.
Ce recensement en Mauritanie cache de multiples facettes dont nous n’avons pas encore tous finies de découvrir, à moins que le projet d’Aziz soit voué à l’échec.
Si nous ne refusons pas cette dislocation, que les autorités mauritaniennes entrain de faire sur notre communauté, je ne pense pas que quelqu’un d’autres le ferra à notre place.
Nous sommes actuellement dans une situation où nous sommes condamnés à être d’accord sur un seul point, lequel ? Nous sommes tous peuls.
Ce que nous sommes entrain de vivre actuellement est l’une des conséquences directes du retour de quelques déportés dans leur pays, sous la pression des associations, des partis politiques, des ONG et la société civile.
Rappelons nous en peu avant ce recensement les autorités mauritaniennes avaient accepté malgré elles ce retour des déportés, même s’il n’est digne comme nous le souhaitions. C’est une politique d’ajustement démographique que nos autorités ont appliqué sur des populations négro-mauritaniennes. Ce recensement n’est pas à vocation de l’Etat civil, mais à vocation d’exclusion et discrimination (RANVED).
Le poids démographique est un facteur non négligeable pour le développement et la croissance économique d’un pays. La Mauritanie est un des pays dont la densité moyenne est la plus faible au monde. Cette diversité culturelle est un grand atout dont la Mauritanie devrait saisir l’opportunité.
Avec tout ce que nous avions vécu, Aziz est entrain de nous montrer, que Taya n’a rien fait de regrettable et d’autre part, il nous apprend que nous ne sommes pas encore au bout de nos surprises.
C’est une politique de continuité que Aziz et son entourage appliquent à l’égard des négro-mauritaniens après l’ère délicate d’Ould Taya. Il ne fait qu’enfoncer le clou, dans une situation encore aussi précaire, au lieu d’être rassembleur pour l’unité nationale et la paix dans un pays meurtri par le racisme et les tentions intercommunautaires.
Chacun d’entre nous est capable de dénoncer cette injustice qui se passe chez nous où il se trouve quelque soit son isolement grâce aux medias et toutes les contributions sont les biens venues (matière grise, moyen financier…)
Daouda Diop
Source: Daouda Diop