A quelques jours de la fête de l’Aid El Fitr (fête de la Korité), mettant fin au mois de Ramadan, les populations de Nouakchott se préparent activement à cette fête, sur fond de crise liée à une conjoncture économique difficile, a constaté dimanche la PANA à différents endroits de la capitale.
Prévue pour être célébrée entre le mardi 30 et le mercredi 31 août 2011, suivant la parution du croissant lunaire, l’Aid ELFitr s'annonce dans les foirails permanents et dans ceux de fortune installés de manière spontanée au rythme du prix du mouton qui oscille entre 40.000 et 50.000 ouguiyas (soit entre 142 et 172 dollars US).
Des prix « pas forcément chers, mais très élevés par rapport aux années précédentes», selon Ahmed Yarba, un quinquagénaire venu à la recherche «d’une bonne occasion» dans un foirail d’El Mina, une localité populeuse de la banlieue Sud de Nouakchott.
Justifiant les prix très élevés de l’année 2011, Cheikh Mahoumoud, vendeur venu du grand Est mauritanien, évoque la conjoncture socio-économique, marquée par « une récente grève des chauffeurs de camion, les hausses successives du prix du gasoil, qui ont contribué à gonfler le coût du transport du bétail, passé parfois du simple au double et donc le prix du mouton ».
Une nouvelle qui fait grincer des dents les chefs de famille à Nouakchott qui comptent sur une hypothétique inversion de la tendance des prix, pour prendre d'assaut les foirails à quelques heures de la fête, au moment où les vendeurs bradent leur bétail.
Source: PANA
Prévue pour être célébrée entre le mardi 30 et le mercredi 31 août 2011, suivant la parution du croissant lunaire, l’Aid ELFitr s'annonce dans les foirails permanents et dans ceux de fortune installés de manière spontanée au rythme du prix du mouton qui oscille entre 40.000 et 50.000 ouguiyas (soit entre 142 et 172 dollars US).
Des prix « pas forcément chers, mais très élevés par rapport aux années précédentes», selon Ahmed Yarba, un quinquagénaire venu à la recherche «d’une bonne occasion» dans un foirail d’El Mina, une localité populeuse de la banlieue Sud de Nouakchott.
Justifiant les prix très élevés de l’année 2011, Cheikh Mahoumoud, vendeur venu du grand Est mauritanien, évoque la conjoncture socio-économique, marquée par « une récente grève des chauffeurs de camion, les hausses successives du prix du gasoil, qui ont contribué à gonfler le coût du transport du bétail, passé parfois du simple au double et donc le prix du mouton ».
Une nouvelle qui fait grincer des dents les chefs de famille à Nouakchott qui comptent sur une hypothétique inversion de la tendance des prix, pour prendre d'assaut les foirails à quelques heures de la fête, au moment où les vendeurs bradent leur bétail.
Source: PANA