Après l’épisode de sauvetage in extremis d’Idriss Déby par la légion étrangère, non sans on l’imagine que celui-ci ait transigé avec les intérêts de son peuple et au moment où le Kenya est atteint du virus de "machettage aigu, la conviction est encore renforcée sur l’incapacité des dirigeants africains à sortir le continent de la misère.
Dans cette occurrence, il est tout aussi évident que le salut de l’Afrique viendra de l’Occident. Non pas de l’Occident actuel, barbare et décadent et conséquemment incapable de solidarité (pas d’intérêts, pas d’action, voilà le credo).
Mais l’Occident de demain, qui sera noir par le biais d’un métissage intensif. Aussi vrai qu’au commencement était "homo-sapiens", héritier "d’homo erectus" et "d’homo-habilis" qui avait inventé l’art et l’écriture (moins 50 000 avant notre ère) en Afrique, au moment où son "cousin" Néanderthal vivait dans des cavernes en Europe, avant de disparaître au contact des deux peuples (homo-sapiens se "blanchissant" sous la rigueur du climat européen, alors qu’il se "jaunira" en Asie du fait du même climat, non sans y avoir "apprivoisé" l’homme de Bali), il apparaît que la civilisation des prochains millénaires sera noire.
L’Egypte noire elle aussi, et réceptacle de cette brillante civilisation léguée par son ancêtre homo-sapiens, (il y a de cela moins 5000 ans) a été "blanchisée" parce que toutes les peuplades primitives de l’époque (de type indo-européen) venaient "s’abreuver" à la source. De métissages en guerres prédatrices, on en est arrivé aujourd’hui à nier le caractère "nègre" de l’Egypte, malgré les brillantes et inattaquables démonstrations de Cheick Anta Diop. Le phénomène inverse a commencé avec la France comme tête de pont (Paris est désormais une ville "black".
Cependant que les contrées nordiques sont envahies par des émigrés lassés de vivre dans la misère aux portes de "l’Eldorado". Il est déjà perceptible dans le domaine du sport où toutes les équipes nationales et les sélections olympiques ont "leurs" black. Et, qu’on ne s’y trompe pas, toute cette armada juridique destinée à contenir ce déferlement traduit plus la grande peur de ce "lendemain noir" que la volonté d’atténuer les problèmes économiques qu’il engendre. D’autant que l’Occident décadent préfère, à l’instar de Rome son ancêtre, adapter des pratiques et des lois contre-nature, qui entraînent un vieillissement progressif des populations.
Un humoriste a ainsi affirmé pince-sans-rire, que si l’on expulsait un million d’arabes de France, ce sont cinq millions de françaises qui auraient des "problèmes sexuels". Et, cette percée noire a failli déboucher sur le jack-pot aux USA avec la percée fulgurante de Barack Obama, le "petit" kenyan qui fait rêver l’Amérique. Bien sûr, ni nous, ni nos arrières petits-fils ne verront ce jour béni où la civilisation-mère rayonnera à nouveau, mais, on se console en se disant qu’il est inéluctable. Parfois, l’histoire balbutie.
Boukakar SY
Source: lefaso
(M)
Dans cette occurrence, il est tout aussi évident que le salut de l’Afrique viendra de l’Occident. Non pas de l’Occident actuel, barbare et décadent et conséquemment incapable de solidarité (pas d’intérêts, pas d’action, voilà le credo).
Mais l’Occident de demain, qui sera noir par le biais d’un métissage intensif. Aussi vrai qu’au commencement était "homo-sapiens", héritier "d’homo erectus" et "d’homo-habilis" qui avait inventé l’art et l’écriture (moins 50 000 avant notre ère) en Afrique, au moment où son "cousin" Néanderthal vivait dans des cavernes en Europe, avant de disparaître au contact des deux peuples (homo-sapiens se "blanchissant" sous la rigueur du climat européen, alors qu’il se "jaunira" en Asie du fait du même climat, non sans y avoir "apprivoisé" l’homme de Bali), il apparaît que la civilisation des prochains millénaires sera noire.
L’Egypte noire elle aussi, et réceptacle de cette brillante civilisation léguée par son ancêtre homo-sapiens, (il y a de cela moins 5000 ans) a été "blanchisée" parce que toutes les peuplades primitives de l’époque (de type indo-européen) venaient "s’abreuver" à la source. De métissages en guerres prédatrices, on en est arrivé aujourd’hui à nier le caractère "nègre" de l’Egypte, malgré les brillantes et inattaquables démonstrations de Cheick Anta Diop. Le phénomène inverse a commencé avec la France comme tête de pont (Paris est désormais une ville "black".
Cependant que les contrées nordiques sont envahies par des émigrés lassés de vivre dans la misère aux portes de "l’Eldorado". Il est déjà perceptible dans le domaine du sport où toutes les équipes nationales et les sélections olympiques ont "leurs" black. Et, qu’on ne s’y trompe pas, toute cette armada juridique destinée à contenir ce déferlement traduit plus la grande peur de ce "lendemain noir" que la volonté d’atténuer les problèmes économiques qu’il engendre. D’autant que l’Occident décadent préfère, à l’instar de Rome son ancêtre, adapter des pratiques et des lois contre-nature, qui entraînent un vieillissement progressif des populations.
Un humoriste a ainsi affirmé pince-sans-rire, que si l’on expulsait un million d’arabes de France, ce sont cinq millions de françaises qui auraient des "problèmes sexuels". Et, cette percée noire a failli déboucher sur le jack-pot aux USA avec la percée fulgurante de Barack Obama, le "petit" kenyan qui fait rêver l’Amérique. Bien sûr, ni nous, ni nos arrières petits-fils ne verront ce jour béni où la civilisation-mère rayonnera à nouveau, mais, on se console en se disant qu’il est inéluctable. Parfois, l’histoire balbutie.
Boukakar SY
Source: lefaso
(M)