En effet, l’élan de solidarité en faveur de ma libération est bien là la marque d’un combat commun face à l’arbitraire, l’indifférence, l’intolérance et la servitude.
Je suis très soulagé de constater que toutes les communautés mauritaniennes (bien que certaines demeurent encore hésitantes) établies sur le territoire national et celles de la diaspora s’intéressent à notre cause.
Chers (ères) camarades, se rappelle-t-on, qu’en ce moment même, pendant que des compatriotes, victimes de la barbarie policière, croupissent encore dans les hopitaux, se tiennent à Nouakchott des assises sur le dialogue politique entre le parti-Etat et l’opposition. A mon avis, il ne s’agit que de Miroir aux alouettes, d’une grosse farce entre politicards qui n’amusent que des laudateurs avides de pouvoir.
Camarades, depuis plus de 50 ans ces prévaricateurs n’ont fini de dépouiller jusqu’à la lie notre jeune et chère Mauritanie devenue pour eux une vulgaire charogne. A nous de leur faire comprendre qu’il appartienne à la jeunesse d’aujourd’hui de bâtir la Mauritanie de demain. Ils ne sont que le souvenir du vieil hier et nous la mémoire de l’eternel demain. Tout débat qui se veut constructif qui exclurait la jeunesse, est voué à l’échec.
J’en appelle à toutes les forces vives épris de paix et de justice de se couler dans le moule pour combattre la cupidité, le népotisme et le bradage des ressources nationales.
Je ne pourrais finir mes propos sans adresser mes chaleureux remerciements et encouragements à ceux et celles qui se sont mobiliser pour la cause (pour m’exonérer des omissions, je m’excuserais auprès de vous de n’avoir pas cité de noms). Une mention spéciale à nos amis : Mouvement abolitionniste et anti-esclavagiste haratine, Mouvement du 25, le FONADH (Forum des Organisations Nationales des Droits Humains), Associations des femmes chefs de familles, Association mauritanienne des droits de l’homme, Association mauritanienne pour la promotion de la langue et la culture soninké, Association pour la renaissance du pulaar en RIM, Association pour le renforcement de la démocratie et de l’éducation citoyenne, Comité de solidarité avec les victimes des violations des droits humains en Mauritanie, Groupes d’études et de recherches sur le démocratie et le développement économique et sociale, Ligue africaine des droits de l’homme, Ligue mauritanienne des droits de l’homme, Regroupement des victimes des événements 1989/1991, Collectif des veuves, Collectifs des rescapés militaires, SOS Esclaves, AVOMM, la Presse de manière générale, au mouvement « NE TOUCHE PAS A MA NATIONALITE » et aux initiateurs du groupe facebook : LIBEREZ ABDOULAYE DJIBRIL DIAGANA DIT ABASS.
Au mouvement « NE TOUCHE PAS A MA NATIONALITE », je réitère : « A une loi injuste nul n’est tenu d’obéir » (Saint Thomas D’Aquin). La lutte doit continuer pour resister à l’affront, combattre l’injustice et défendre l’honneur. TROP C’EST TROP.
Vive la jeunesse !
Vive la Mauritanie qui gagne !
ABDOULAYE DJIBRIL DIAGANA DIT ABASS.
Source: Abdoulaye D. Diagana
Je suis très soulagé de constater que toutes les communautés mauritaniennes (bien que certaines demeurent encore hésitantes) établies sur le territoire national et celles de la diaspora s’intéressent à notre cause.
Chers (ères) camarades, se rappelle-t-on, qu’en ce moment même, pendant que des compatriotes, victimes de la barbarie policière, croupissent encore dans les hopitaux, se tiennent à Nouakchott des assises sur le dialogue politique entre le parti-Etat et l’opposition. A mon avis, il ne s’agit que de Miroir aux alouettes, d’une grosse farce entre politicards qui n’amusent que des laudateurs avides de pouvoir.
Camarades, depuis plus de 50 ans ces prévaricateurs n’ont fini de dépouiller jusqu’à la lie notre jeune et chère Mauritanie devenue pour eux une vulgaire charogne. A nous de leur faire comprendre qu’il appartienne à la jeunesse d’aujourd’hui de bâtir la Mauritanie de demain. Ils ne sont que le souvenir du vieil hier et nous la mémoire de l’eternel demain. Tout débat qui se veut constructif qui exclurait la jeunesse, est voué à l’échec.
J’en appelle à toutes les forces vives épris de paix et de justice de se couler dans le moule pour combattre la cupidité, le népotisme et le bradage des ressources nationales.
Je ne pourrais finir mes propos sans adresser mes chaleureux remerciements et encouragements à ceux et celles qui se sont mobiliser pour la cause (pour m’exonérer des omissions, je m’excuserais auprès de vous de n’avoir pas cité de noms). Une mention spéciale à nos amis : Mouvement abolitionniste et anti-esclavagiste haratine, Mouvement du 25, le FONADH (Forum des Organisations Nationales des Droits Humains), Associations des femmes chefs de familles, Association mauritanienne des droits de l’homme, Association mauritanienne pour la promotion de la langue et la culture soninké, Association pour la renaissance du pulaar en RIM, Association pour le renforcement de la démocratie et de l’éducation citoyenne, Comité de solidarité avec les victimes des violations des droits humains en Mauritanie, Groupes d’études et de recherches sur le démocratie et le développement économique et sociale, Ligue africaine des droits de l’homme, Ligue mauritanienne des droits de l’homme, Regroupement des victimes des événements 1989/1991, Collectif des veuves, Collectifs des rescapés militaires, SOS Esclaves, AVOMM, la Presse de manière générale, au mouvement « NE TOUCHE PAS A MA NATIONALITE » et aux initiateurs du groupe facebook : LIBEREZ ABDOULAYE DJIBRIL DIAGANA DIT ABASS.
Au mouvement « NE TOUCHE PAS A MA NATIONALITE », je réitère : « A une loi injuste nul n’est tenu d’obéir » (Saint Thomas D’Aquin). La lutte doit continuer pour resister à l’affront, combattre l’injustice et défendre l’honneur. TROP C’EST TROP.
Vive la jeunesse !
Vive la Mauritanie qui gagne !
ABDOULAYE DJIBRIL DIAGANA DIT ABASS.
Source: Abdoulaye D. Diagana