Mohamed Jemil Ould Mansour, président du parti Tawassoul, d’obédience islamiste, est candidat à l’élection présidentielle du 18 juillet prochain en Mauritanie, a appris APA de source sure dimanche à Nouakchott.
Selon cette source, l’annonce de la candidature sera faite après sa validation définitive lors d’une réunion du bureau exécutif du Parti, prévue dimanche dans la soirée.
Une telle décision sonne le glas à l’éventualité d’une candidature unique présentée par le Front national de défense de la démocratie (FNDD) dont Tawassoul est l’un des partis fondateurs.
C’est également la 3ème candidature proclamée depuis la signature de l’accord de Dakar entre les parties prenantes de la crise née du putsch du 6 août dernier en Mauritanie.
En effet, l’ancien président de la transition de 2005 – 2007, le colonel Ely Ould Mohamed Vall, et le chef de file de l’opposition, Ahmed Ould Daddah, ont déjà fait connaître leur intention de briguer les suffrages de leurs compatriotes dans la course au Palais présidentiel.
Fortement implanté dans les milieux jeunes et féminins, le parti Tawassoul est notamment connu pour ses positions tranchées rejetant tout lien avec l’Etat d’Israël.
L’accord de Dakar prévoit aussi la désignation d’un gouvernement d’union nationale et d’une commission électorale répartis, à parité égale, entre les partisans de l’ex président du Haut conseil d’Etat au pouvoir, le général Mohamed Ould Abdelaziz, et les opposants au putsch.
Il prévoit en outre que le décret désignant le gouvernement soit signé par le président déchu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, qui devra par la suite présenter sa démission volontaire.
Source: APA
Selon cette source, l’annonce de la candidature sera faite après sa validation définitive lors d’une réunion du bureau exécutif du Parti, prévue dimanche dans la soirée.
Une telle décision sonne le glas à l’éventualité d’une candidature unique présentée par le Front national de défense de la démocratie (FNDD) dont Tawassoul est l’un des partis fondateurs.
C’est également la 3ème candidature proclamée depuis la signature de l’accord de Dakar entre les parties prenantes de la crise née du putsch du 6 août dernier en Mauritanie.
En effet, l’ancien président de la transition de 2005 – 2007, le colonel Ely Ould Mohamed Vall, et le chef de file de l’opposition, Ahmed Ould Daddah, ont déjà fait connaître leur intention de briguer les suffrages de leurs compatriotes dans la course au Palais présidentiel.
Fortement implanté dans les milieux jeunes et féminins, le parti Tawassoul est notamment connu pour ses positions tranchées rejetant tout lien avec l’Etat d’Israël.
L’accord de Dakar prévoit aussi la désignation d’un gouvernement d’union nationale et d’une commission électorale répartis, à parité égale, entre les partisans de l’ex président du Haut conseil d’Etat au pouvoir, le général Mohamed Ould Abdelaziz, et les opposants au putsch.
Il prévoit en outre que le décret désignant le gouvernement soit signé par le président déchu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, qui devra par la suite présenter sa démission volontaire.
Source: APA